CORRIGÉ
Spéciale du Grand Paris Express
Le travail souterrain des opérateurs de tunneliers, des canalisateurs, des mineurs-boiseurs, des monteurs de réseaux électriques, des conducteurs d’engins, des coffreurs, annonçait l’émergence de ces futures lignes de métro qui offriraient un tout nouveau paysage aux habitants franciliens et à l’ensemble des usagers. (Écoliers)
Cette perspective venue des sous-sols écrivait un nouveau tome du territoire en confiant au Grand Paris Express un rôle dépassant celui d’un simple mode de déplacement. Le chantier de construction de cette infrastructure de transport, longue de deux-cents kilomètres, était un défi unique à relever, de ceux qu’un homme ou une femme ne rencontre qu’une fois dans sa vie professionnelle. La mise en circulation du nouveau métro permettrait non seulement de se déplacer plus vite…
tunneliers. Un tunnelier est une machine permettant d’excaver des tunnels dans des sols et des roches variées allant du sable au granite. Le diamètre des tunnels circulaires percés est compris actuellement entre un et 17,6 mètres.
canalisateurs. Le canalisateur / la canalisatrice est en charge de l’installation et de la maintenance du réseau de distribution d’eau potable et d’évacuation des eaux usées.
Percement de tranchées à l’aide d’engins de chantier, installation des conduites, pose des raccordements, aménagements des ouvertures ou regards pour effectuer les opérations de maintenance corrective ou préventive, remise en état de la voirie…
mineurs-boiseurs. Définition du métier Mineur boiseur (Ouvrier) : Ouvriers qualifiés effectuant, sous terre ou en surface, différents travaux nécessaires aux industries extractives.
l’émergence. Une émergence désigne l’apparition d’un phénomène naissant, et ne concerne ni les êtres ni les objets matériels.
sous-sols. Partie d’une construction aménagée au-dessous du rez-de-chaussée.
territoire. Etendue de la surface terrestre sur laquelle vit un groupe humain.
deux-cents kilomètres. Multiplié, « cent » prend la marque du pluriel, « s », mais il la perd quand il est suivi d’un autre adjectif numéral (« quatre », « douze », « quarante », etc.).